Confessions d'un automate mangeur d'opium, un roman steampunk
Une nouvelle lecture dans le cadre du Printemps de l'Imaginaire Francophone et à nouveau du steampunk, un style que j'adore.
Paris 1889, les aéroscaphes alimentés à l’éther côtoient les calèches et les automates sont monnaie courante. Margo, actrice anglaise, enquête sur le meurtre de sa meilleure amie au côté de son frère Théo grand aliéniste (ancêtre de nos psychiatres).
Le livre est écrit par deux auteurs : Fabrice Colin et Mathieu Gaborit, il a été publié une première fois en 2000 et a obtenu le prix Bob Morane -Imaginaire 2000.
Et moi j'en pense quoi ?
J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire, il faut dire qu'après les mondes d'Ewilan la barre était très haute.
Autant j'ai adoré l'univers du livre, ce Paris imaginaire rempli d'aéroscaphes, de métal et d'éther, autant j'ai moins aimé l'intrigue. Le suspens n'est pas intenable et même si l'histoire se tient, je n'ai pas eu beaucoup de surprise. C'est pourtant un livre qui a reçu un prix mais rien à faire je n'ai pas accroché. il manquait ce petit grain de suspens, ce petit plus qui fait qu'on n'a plus envie de quitter les personnages.
Confessions d'un automate mangeur d'opium, Fabrice Colin et Mathieu Gaborit aux éditions Bragelonne, janvier 2018
Commentaires
Enregistrer un commentaire